Recette du mois de janvier 2010
Chers clients,
Pour débuter cette année du bon pied, et comme évoqué lors de nos voeux 2010, un chef de la ville d’avignon concotera chaque mois, une recette spécialement pour vous !!
Le but est de réaliser un plat de saison avec si possible, des produits locaux, alléchant, et surtout simple à réaliser chez soi. Pour cette première expérience, c’est Isabelle, chef du restaurant le Chat’touilleur qui ouvre le bal avec un plat de brochettes de Saint Jacques lardées aux pleurotes accompagnées d’une tatin d’endives caramélisées et un beurre au thym.
Liste des ingrédients pour 4 personnes :
– 24 noix de Saint-Jacques ainsi que 24 tranches de lard fumé
– 1 rouleau de pâte feuilletée
– 4 endives et quelques pleurotes
– 200g de beurre avec du Thym frais en branche
– assaisonnement (sel, poivre)
La recette se décompose en 5 étapes :
1- La Tatin d’endives :
* émincer les endives puis les faire cuire dans une bonne noix de beurre jusqu’à évaporation du liquide puis les égoutter.
* dans des plats à tarte individuels, mettre une pincée de sucre, un bout de beurre, rajouter sel et poivre puis les remplir d’endives
* recouvrir de pâte feuilletée découpée à la même taille que les plats eux-mêmes et faire cuire 25 minutes à 180°.
2- Les brochettes :
* compter 2 brochettes, de 3 noix chacune, par personne
* entourer chaque noix de Saint Jacques avec une tranche de lard puis les enfiler sur les pics à brochette
* les cuire au dernier moment pendant 10 minutes à 180°.
3- Les pleurotes :
* les effilocher à la main puis les poêler dans du beurre, saler et poivrer.
4- Le beurre au thym :
* faire chauffer 15 cl d’eau et incorper les 200g de beurre coupés préalablement en petits dés.
* saler, poivrer et mettre 2 branches de thym à infuser en laissant le beurre au chaud, sans ébullition.
5- Dressage :
* selon votre envie, mais toujours penser à mettre de la couleur, un peu de hauteur et laisser s’exprimer votre inspiration !
🙂 Astuces du chef :
Pour contrer l’amertume des endives, y rajouter un peu de sucre.
Selon la saison, remplacer les endives par des poivrons grillés ou bien un assortiment poireaux et carottes.
Pour l’inauguration de cette rubrique, il me semble que cette recette allie à la fois simplicité et orginalité pour un budget des plus abordables. Merci mille fois à Isabelle de s’être prêtée au jeu, de m’avoir permis de partager l’intimité de ses fourneaux, et par la même occasion d’avoir pu vous faire vivre l’intérieur d’une très bonne table Avignonnaise.
Facilité *** – Budget * – Rapidité **
F.CLOTA
Restaurant Napoli Mia
Chers clients,
Il est de certaines adresses où l’on se sent comme chez soi, accueilli, chouchouté, considéré, bref, en famille. A l’Avignon Hôtel Monclar c’est ce que nous essayons de faire depuis plus de 20 ans et c’est aussi le cas du Napoli Mia – restaurant italien – dont je voulais vous parler aujourd’hui.
Son nom est évocateur. « Ma Naples » est un peu le restaurant de tous ; d’ailleurs, je dis toujours qu’on ne vient pas au Napoli Mia, mais que l’on y revient…
Situé en dehors des remparts sur la route de Montfavet, il est très discret, sa façade ne paye pas de mine, et pourtant… Il est, pour ainsi dire, impossible de trouver une place de libre sans avoir préalablement réservé ! C’est toujours plein !
Dans une salle entièrement rénovée, sévit Giuseppe, le maître des lieux et Napolitain pur souche. Il parle fort et avec les mains, il est à la fois amical envers les hommes et très charmeur avec la gent féminine. Un personnage vraiment haut en couleurs qui mène son équipe à la baguette. Son numéro est bien huilé, mais on se laisse toujours prendre par son humour et sa gentillesse.
Cela fait bien longtemps que je connais cette adresse mais allez, faisons comme si c’était la toute première fois ! 19h30, j’ai bien entendu réservé, j’entre. A ma droite, le comptoir en zinc d’un bar ; de nombreux moulins à café sont suspendus au plafond, et en faisant demi-tour, on peut voir une première Vespa qui surplombe l’entrée.
Après ce couloir, et toujours sur la droite, un four à bois a été installé. Il surplombé, lui aussi, de deux Vespa. A gauche, on puut voir l’atelier du « pizzaïolo maison » au devant de la cuisine. De nombreuses casseroles et poêles en cuivre, ainsi que deux mezzanines jonchées de 6 autres « guêpes » décorent la salle. Vous ne rêvez, pas, vous êtes bien en Avignon, et pourtant, vous vous sentez déjà voyager.
La salle se présente sous forme de tables en fer, pour deux personnes – détail ayant son importance, on le verra plus tard. Elles sont le plus souvent accolées, pour une capacité totale avoisinant les 50 couverts. Les éclairages sont faits au moyen d’ampoules économiques ou LED, et sont déclinés aux couleurs italiennes.
A cette heure, il est encore un peu tôt et la salle paraît bien vide, mais l’on peut remarquer les petits papiers annotés aux noms des clients sur chaque table, laissant supposer que quelques instants plus tard, plus une place ne sera disponible. Et bien entendu, ça n’a pas loupé !
A peine installés, un apéritif maison vous ait servi. C’est un verre de rosé, plutôt sucré, avec son glaçon. Cela permet de patienter avant la prise de commande. Sachez qu’au Napoli Mia, il n’y a pas de menu ! Amusez-vous à demander la carte à Giuseppe, vous ne serez pas déçu ! « Ma le menou ? quel menou ? c’est moi le menou ! qu’est que tou vo manger ? » . Il est vraiment intenable !
La coutume en Italie, veut que l’on commande une petite entrée, pour mettre en appétit. Ces antipasti (mises en bouche) se présentent le plus souvent sous forme d’assiettes à partager, à base de petits légumes, ou de charcuterie, c’est délicieux, mais pour une fois je ferais l’impasse, souhaitant dévorer une pizza au feu de bois.
Mon grand faible c’est la pizza Napoli, ou plus exactement la pizza alle melanzane (aux aubergines). Le pizzaïolo maison est soumis à grande contribution tout au long de la soirée. Très charmeur lui aussi, il aime se faire remarquer en lançant en l’air sa pâte à pizza. Néanmoins, et malgré son physique de déménageur, il fait des pizzas succulentes. Une très fine pâte, une sauce tomate savoureuse, un peu de fromage fondu, et des morceaux d’aubergines préalablement grillés, un pur moment de bonheur. Cette odeur de four à bois, cette texture, et ce goût… mamma mia !
Passons vite à la suite ! Giuseppe ! Je veux des pâtes !
« oui mon ami, j’arrive ! tou vo des pates a quoi ? j’ai des pates a tou, pate formaggio, pate alla viande, pate aux aubergines, pate au poisson, pate au fruits de mer… » et la liste est longue !
Pour les avoir, je crois, toutes déjà essayées, je dirais que celles aux fruits de mer sont inégalables ! Les pâtes, servies dans une assiette creuse, peuvent varier selon le moment, mais leur cuisson est toujours parfaite et al dente. La sauce tomate, aux parfums de basilic, est parsemée de fins morceaux d’échalotes ciselées, ce qui est un pur régal quand on en croque un à pleines dents, cela illumine le palais. Les fruits de mer sont généreux ; crevettes, bulots, moules, petits calmars, sont parfaitement liés à la sauce, et donnent à un plat « basique » de pâtes, une finesse vraiment exceptionnelle.
Lorsque vous commandez le même assortiment, c’est tout bonnement la poêle qui vous ait apportée. Elle est posée sur la table, d’où l’intérêt qu’elle soit en fer, et parfois c’est Giuseppe en personne qui vient vous la remuer à la manière des grands chefs, afin de bien mélanger toutes les saveurs. Les pâtes sont aussi bonnes que lorsqu’elles sont servies à l’assiette, mais la sauce est encore meilleure grâce aux sucs accrochés à la poêle. Vous serez surpris de vous voir, généreusement, saucer le fond !
Bien que cela paraisse copieux, une pizza et une portion de pâtes passent vraiment très bien et vous pourrez, sans souci goûter aux desserts ! L’incontournable Tiramisu d’une légèreté incroyable sera le point final idéal de votre repas. Mais là encore, ma préférence ira aux petits babas au Limoncello (liqueur italienne à base de citron). C’est tout simple, quatre babas, juste arrosés de liqueur, mais c’est divin, et quand même un peu fort, méfiez vous.
Résumer le Napoli Mia en quelques mots est, vous l’aurez compris, bien difficile. J’espère, néanmoins, vous avoir donné l’envie et la curiosité de tenter cette expérience qui j’en suis persuadé, vous séduira au plus haut point. Comptez 21 euros pour l’entrée, le plat, et le dessert et sachez que le four à bois n’est actif que le soir, ainsi que le jeudi midi. (à savoir donc, si vous souhaitez goûter aux pizzas). Restaurant fermé le dimanche et le lundi.
Bon appétit !
F.CLOTA
Restaurant Les Domaines
Chers clients,
Sans vraiment généraliser, la Place de l’Horloge regorge de nombreux restaurants, souvent pièges à touristes, qu’il vaut mieux éviter. Néanmoins, en passant par hasard devant l’un d’eux, je fus interpellé par le menu. Des prix corrects, une carte alléchante, il va falloir que je teste !
Je m’y rends le soir même, sans réservation. Sur le trajet, un vent de tous les diables, spécialité Avignonnaise, me glace le corps. Je m’empresse donc d’entrer dans le restaurant en ayant préalablement remarqué les nombreux pieds de vigne – déposés dans des bacs à fleurs revisités – délimitant la terrasse estivale. Il n’y pas foule ce soir là mais j’aime autant, cela me permettra d’étudier mon menu et faire des photos à mon aise.
Il faut savoir que Les Domaines est un restaurant orienté sur le vin. A chaque plat figurant à la carte sont conseillés deux verres, en supplément. Un accord étudié qui permet de guider le client, bien souvent démuni face à un choix pouvant être large et complexe.
Le serveur aux allures de sommelier, normal me direz-vous, me place et m’apporte la carte. On note tout de suite que la salle a été récemment rénovée, pas la moindre trace d’usure, c’est propre et bien agencé. Les murs, blancs, sont décorés par des grappes de raisin et feuilles de vignes. Ayant déjà une idée bien définie sur mon repas du soir, je n’ai pas besoin de consulter la carte et patiente de longs instants avant que l’on prenne ma commande.
L’attente aurait pu être gênante, mais le restaurant a eu l’ingénieuse idée de projeter des films nous racontant le vin, son histoire, sa confection, et nous donnent plein d’informations et astuces quant à sa préparation, son service, et même sa façon de le déguster. Pour tout vous dire, j’ai fait 2 années d’oenologie, et les bases ne me sont pas inconnues. Néanmoins, le film est bien fait et j’ai appris tout un tas de choses que j’ignorais.
Bref sans en faire un cours magistral, c’est simple, ludique et surtout cela permet de patienter ! Ah le serveur revient, passons commande !
Un pichet d’eau et du pain me sont portés. L’eau est en fait servie dans une bouteille de Tavel (vin rosé bien connu dans la région) et le pain, dans une jolie corbeille en fer. Pour une personne, j’ai eu droit à quatre petits pains, de variétés différentes. Sûrement pré-cuits, et réchauffés en dernière minute, mais quand même goûteux.
En entrée, je retiens le croustillant de chèvre au miel. Une salade accommodée de pignons de pin, et jonchée de gressins l’accompagne. L’assiette est bien dressée, et servie rapidement. Je regrette tout de même que le croustillant ne l’ait pas été un peu plus. Le chèvre et le miel ont eu tendance à ramollir un peu la feuille de brick. Le goût est quand même très bien équilibré, et les morceaux de pommes, ajoutés à la préparation, donnent à ce plat une rondeur exquise. Le vin suggéré et choisi, un Lirac rouge AOC Côtes du Rhône Méridionales, se marie très bien avec le chèvre et permet d’adoucir l’acidité de la pomme.
Après avoir terminé, je suis vite débarrassé et le plat suivant ne se fait pas attendre. Un magret de canard laqué aux 5 épices a eu raison de mon choix. Lors de mes visites gourmandes, j’essaie autant que possible de varier les plats, mais quand il s’agit de canard, il est très dur pour moi d’en faire l’impasse ! L’assiette arrive, et là… angoisse. Il ne fait aucunement mention sur la carte de la copieuse Polenta qui sert de garniture au magret. Non pas que je n’aime pas la Polenta, mais j’avoue ne pas en être un grand amateur et la trouve souvent mal préparée. La dose servie me laisse présager qu’elle retournera presque intacte en cuisine.
C’est aussi pour ça que j’aime tester des restaurants, des cartes, des plats classiques ou plus originaux. J’aime être surpris, être conquis. J’aime quand mes préjugés sont bousculés, et là… bingo ! La Polenta était sublime ! Le magret, ou plutôt demi magret (et c’est là le seul défaut du plat) était purement succulent. Comme vous le savez, la cuisson des viandes est demandée lors de la prise de commande par le serveur. Un magret de canard, de par sa préparation, n’a vraiment aucun intérêt à être bleu, ou bien cuit. La cuisson idéale se situe entre « saignant » et « à point ». Et comme trop rarement, cette fois, ce fut parfait. Le canard a été bien doré sur sa peau, puis le jus de cuisson, débarrassé de son gras, a été déglacé au miel avec gingembre, cannelle, et clous de girofle. Cette sauce, dans laquelle j’ai pu tremper la Polenta, était simplement divine. Des tomates cerise s’ajoutent au plat mais ont plus une importance esthétique que gustative. Du vert, du jaune, du rouge, un plat bien réussi agrémenté d’un excellent verre de Vacqueyras.
Une fois mon assiette bien « nettoyée », arrive le moelleux au chocolat. Incontournable dessert de tout restaurant qui se respecte, j’y ai cédé à nouveau en raison de sa préparation incluant du caramel salé. Présentation sobre, le moelleux était un peu froid, et pas assez coulant. C’est vraiment dommage d’autant que le caramel était bon, et la crème anglaise bien faite. Il manque un peu d’explosivité au dessert. L’assiette semble un peu vide et disproportionnée. Le moelleux apparait comme plus petit que le verre de crème anglaise. A lui seul, il coute quand même 7 euros.
L’addition est présentée : 39 euros entrée, plat, dessert, avec deux verres de vin. Compte tenu de l’emplacement du restaurant sur la place de l’horloge, proche de l’Opéra et du Palais des Papes; compte tenu des produits utilisés et du vin servi, le rapport qualité prix est plus qu’honnête. Les Domaines, une très bonne adresse donc, que l’Avignon Hotel Monclar vous recommande chaudement.
Bon appétit !
F.CLOTA
Restaurant Art et buffet
Cher clients,
En cette période de fêtes de fin d’année où les prix ne cessent de grimper, mais où notre envie de partager et se régaler de plats savoureux n’a jamais été aussi grande, il est une adresse qui est devenue incontournable sur Avignon, celle d’Art et buffet. L’Avignon Hotel Monclar se devait donc de vous en parler !
Ce restaurant situé sur la rue des Trois Faucons n’a pas une grande façade, ce qui fait que l’on peut y passer devant plusieurs fois sans vraiment y prêter attention, et pourtant… Les jours de semaine, le midi plus exactement, qu’ils sont nombreux les aficionados de cette cuisine généreuse et variée !
J’entre. Le parquet craque légèrement sous mes pieds. des éclairages “design”, des tables customisées en fer, des sièges en velours dignes des films d’Austin Powers et de nombreux tableaux de jeunes artistes assurent la décoration des lieux. La salle est chaleureuse. Un large comptoir, au derrière duquel se trouve une autre salle, nous fait face.
Le côté “art” est donc facilement perceptible. Mais alors, qu’en est-il du côté buffet ? En un mot, je dirais… “exceptionnel” ! Il est vraiment incroyable de pouvoir disposer d’une telle quantité, d’un tel choix de nourriture et ce, à volonté, pour un aussi petit prix ! Les photos ci-dessous parlent d’elles-même !
En entrée, vous trouverez par exemple un taboulé aux betteraves, persil, noix et pignons de pin, des gaspachos de tomates ou céleri, de la salade de chou et lardons, du cake maison, des pâtes à divers parfums, etc, etc, le tout servi dans des verrines. C’est petit certes, mais copieux ! L’avantage, c’est que non seulement on peut goûter à tout, mais aussi et surtout, ne sont employés pour ainsi dire que des légumes, des fruits secs, des herbes et épices, donc ce n’est ni lourd, ni gras.
En plat, le plus souvent le midi, vous aurez droit au gigot d’agneau ou au poulet rôti. Mention spéciale pour l’agneau qui a toujours une cuisson parfaite. Le jour de ma venue, il y avait même un rôti de porc servi avec une succulente sauce caramélisée. Pour accompagner, vous aurez de la salade, du gratin dauphinois, des légumes, des pâtes, du Boulgour, et bien d’autres choses encore. Nouveauté du jour, le crumble de potiron au Cheddar et bacon. N’ayez crainte, c’est loin d’être aussi lourd que ça paraît. C’est fin, gouteux, et très bien assaisonné.
Je ne sais pas pour vous mais, une chose à laquelle je fais particulièrement attention quand je me régale les papilles, outre le menu et ce qu’il contient, c’est la qualité du pain. En effet, on peut avoir un menu très bien étudié, une harmonie des plats fort bien élaborée mais si le pain laisse à désirer, cela donne une impression générale moins bonne que si celui-ci est tiède, craquant, et souligne parfaitement la saveur des sauces dont on l’imbibe. Et bien ici, c’est exactement ce à quoi nous avons droit, un pain savoureux, ni dur, ni mou, qu’on prend plaisir à déguster.
Faîtes néanmoins attention car les assiettes sont vraiment grandes, et si vous avez l’impression que la votre n’est pas convenablement remplie, vous risqueriez de caler sur le dessert et ce serait fort dommage ! Le dessert, que dis-je ? LES desserts ! Une avalanche verrines ou autres pots en terre cuite, mêlant les classiques comme les moelleux au chocolat, les salades de fruits, les tartes, et les plus originaux tels que les soupes de fraises, les panna cotte, ou encore les Marshmallows à la violette. Une fin triomphale. Je vous défie vraiment d’avoir encore faim après ce repas !
Le service est vraiment impeccable. Ils ne sont que deux en salle, et pourtant, ils abattent un travail énorme de service, accueil, débarrassage, dressage, dans une humeur toujours au beau fixe, et une convivialité des plus agréables. Merci encore pour ce grand plaisir.
Comptez 14.60 euros le midi, buffet à volonté, vin ou eau minérale, ainsi que café compris. Qui dit mieux ? Le soir, le menu passe à 21.80 euros hors boissons. L’idéal donc étant de s’y rendre pour le déjeuner, sur réservation, et sur les coups de midi. Car après c’est vraiment la folie !
Bon appétit !
F.CLOTA
Restaurant Le CaRRé : Carrément bluffant !
Chers clients,
Une fois n’est pas coutume, je vais évoquer cette fois un restaurant de l’extra muros Avignonais : Le CaRRé.
Récemment installé sur la route de Montfavet, à 5 minutes des remparts de la ville, le Carré a vraiment fait un énorme travail de décoration et d’agencement. L’avignon Hotel Monclar se devait donc d’y aller ! L’ambiance du midi est conviviale, le restaurant est lumineux, et le soir, on sent vraiment une atmosphère intime et chaleureuse. Un écran géant est installé. La charpente est assez magestueuse, beaucoup de hauteur sous plafond, beaucoup d’espace, un gros travail de mise en place et de mise en forme a été fait.
La cuisine maintenant ! Parceque les murs, le carrelage, la déco, c’est bien joli, mais on vient avant tout pour manger !
Tout d’abord, les menus sont disposés sur des petits présentoirs, chaque table a le sien. On peut donc consulter les plats proposés tout au long du repas. Un large choix de cocktails est disponible, et je dois dire qu’ils sont particulièrement succulents ! Une mise en bouche bien présentée et plutôt bien fournie accompagnera votre apérétif. La carte est claire, simple, et les plats sont bien présentés. Les sauces sont savoureuses. La carte, lors de mon passage, avait une pointe sud américaine, avec entre autre l’entrecôte à la plancha ou la parillada (grillade) ter et mer, un plat fort copieux alliant dorade, magret de canard, tellines, et côte d’agneau ! Un régal !
Les desserts ne sont pas en reste, avec une mention toute spéciale au Tiramisu à la crème de chataigne ! Vraiment délicieux.
Comptez 25 euros pour 3 plats, entrée, plat et déssert. Des soirées salsa sont occasionellement organisées. Un parking gratuit est également à disposition de la clientèle, alors laissez vous tenter ! Le CaRRé un resto qui vaut le détour !
Bon appétit !
F.CLOTA
Restaurant le Différent
Chers clients,
Vous ne le savez peut être pas mais les restaurants à Avignon ne manquent pas. C’est d’ailleurs l’une des raisons qui fait que très peu d’hôtels disposent de leur propre service de restauration.
Néanmoins, et toujours afin de vous permettre de découvrir ou redécouvrir la ville autrement, l’Avignon Hotel Monclar souhaite vous orienter vers de bonnes adresses, où vous serez accueillis de manière conviviale, où vous dégusterez une cuisine de qualité à des prix plus que raisonnables.
Premier à inaugurer cette rubrique, le restaurant le Différent, à deux pas des Halles et en direction de la célèbre rue des Teinturiers. Les deux F, Frédéric et Franck, y proposent une cuisine régionale, faite exclusivement de produits frais et, fait exceptionnel, renouvellent leur carte chaque semaine.
Le cadre est fort intime, agréable, et le contact on ne peut plus convivial. Une cuisine raffinée, pour un prix modéré, Le Différent est devenu en peu de temps, un des incontournables de la ville. Venez l’essayer et vous verrez !
F.CLOTA