Haribo, c’est beau la vie !
Chers clients,
La Gard regorge de nombreuses richesses, plus prestigieuses les unes que les autres. Mais du côté d’Uzès, se trouve une bien curieuse usine ; celle d’HARIBO. Tout le monde dans son enfance – et sûrement encore aujourd’hui – a eu l’occasion de goûter aux bonbons gélifiés de la fameuse marque allemande.
Et bien, s’il existe plusieurs usines à travers l’Europe, Uzès abrite aussi le musée HARIBO, qu’il est possible de visiter et c’est bien entendu ce que se devait de faire l’Avignon Hôtel Monclar! Commençons néanmoins par un peu d’histoire.
Il faut savoir que l’instigateur de cet empire est Hans Riegel. Né en 1893 à Bonn, il n’a que 27 ans lorsqu’il décide de lancer sa propre entreprise. Le nom de HARIBO vient des premières syllabes de son prénom « HA », de son nom « RI » et du son lieu de naissance, « BO ».
A ses débuts, et comme cela est généralement le cas quand on est jeune, plein d’idées, mais sans le sou, Hans Riegel ne dispose dans la buanderie de sa maison, que de peu de moyens. A peine un sac de sucre, une plaque de marbre, un rouleau, un chaudron en cuivre ainsi qu’un four !
Sa détermination et le soutien de sa femme, qui livrera les bonbons en vélo, et plus tard en voiture, auront raison de sa réussite. La production ne cesse de croître et suite au succès de l’ourson « Tanzbar », une nouvelle gamme de gélifiés est créée, ainsi que les premiers réglisses. Il devient alors nécessaire de trouver des locaux plus grands, mieux appropriés, et d’engager des ouvriers.
En 1930, la marque a conquis l’Allemagne toute entière et le slogan « HARIBO macht Kinder froh » (HARIBO rend les enfants heureux) est connu de tous. Le nombre d’employés passe ainsi de 160 à 400, dix ans plus tard. Seulement, avec la guerre, toute cette économie du bonbon se trouve fragilisée.
Hans Riegel trouvera la mort en 1945, la guerre à peine achevée. Ce sont ses fils qui, par la suite, développeront considérablement la marque. L’un deux se chargera de la commercialisation, l’autre de la production. L’essor est considérable, l’usine emploie plus de 1000 salariés, le slogan est repensé – pour les grands et les petits – et les premiers spots publicitaires font leur apparition dans les années 60.
Les années suivantes marquent l’implantation de HARIBO à travers toute l’Europe, et même sur le continent Américain. Mais en 2009, du côté d’Uzès, qu’en est il ? Après avoir gagné un concours sur Radio France Bleu Vaucluse, je me retrouve avec un gros paquet de bonbons HARIBO, et des entrées gratuites au musée. L’occasion de vous faire partager cette expérience est on ne peut plus belle!
Ainsi, me voilà rendu sur place, dimanche dernier, afin de me régaler les yeux et les papilles. Je présente donc mes invitations à l’entrée, mon petit neveu qui m’accompagne est fou de joie. La dame présente à l’accueil nous remet un guide d’après visite – genre de cahier de jeux, avec coloriages, questions réponses, etc… – ainsi que trois petits paquets de bonbons et un jeton à utiliser au cours de la visite. Trône également sur le comptoir plusieurs présentoirs à bonbons, totalement gratuits ! Bon, bon, c’est pas tout ça, mais la visite nous attend !
Le bâtiment se présente sur plusieurs étages. L’un d’entre eux porte sur l’histoire de la famille Riegel depuis ses origines en Allemagne, jusqu’à son implantation dans plusieurs pays du monde. Un autre est davantage axé sur l’histoire du bonbon dans sa conception, sa confection, jusqu’à sa distribution. On peut ainsi voir les moules servant à réaliser toute les formes connues de bonbons, des plus anciens aux plus actuels, les cuves, et les chaudrons en cuivre nécessaire à leur fabrication.
Au sous-sol, se trouvent plusieurs machines qui servent à produire des bonbons en grande quantité. On peut aisément comprendre l’évolution technologique et temporelle au fil de la visite, tout en s’amusant au moyen de petits ateliers ludiques, visant à tester nos connaissances. Tous nos sens sont mis en éveil, l’odorat, en respirant les parfums de fruits, ou de réglisse ; le toucher, en palpant à l’aveugle différentes formes de bonbons ; ou encore l’ouïe nous donnant des indices pour identifier le type de friandise dont il s’agit. Pour le goût, ce sera un peu plus tard !
Une curieuse machine se trouve sur notre chemin au cours de la visite. Il semblerait que ce soit à cet endroit que doive intervenir le jeton remis à l’entrée. Digne des machines à sous dans les plus grands casinos de Las Vegas, elle produit – en direct – des sachets de bonbons. Leur nombre varie en fonction du hasard. Mon petit neveu, très stimulé par le ce jeu, insère rapidement son jeton, tire le manchot, et déclenche un vacarme infernal ! Tous les rouages s’animent, on voit les bonbons monter dans une spirale, puis redescendre, les rouleaux de sachets entrer en action, et être découpés au coup par coup, et finalement 5 sachets tombent dans notre escarcelle ! La machine redevient ensuite totalement silencieuse.
Si le musée est ouvert le dimanche, ce n’est pas le cas de l’usine. C’est un peu dommage car il est fort intéressant de pouvoir visualiser l’application directe de ce qui a été expliqué quelques instants plus tôt. Néanmoins, le point d’orgue de la visite se situe lors de l’arrivée à la boutique. En effet, sur une surface d’environs 200m² sont proposés des montagnes de bonbons. Limite scandaleux par la quantité, mais encore plus par le prix ! Forcément, nous sommes au coeur de l’usine, le prix défie toute concurrence, et après une bonne demie heure de « shopping », nous voilà avec 7,5 kilos de bonbons ! au prix de 33 euros. Qui dit mieux ?
Un agréable moment donc que cette visite suivie d’un passage à la boutique ou l’on peut y trouver un large choix de produits dérivés, et bien sûr de bonbons qui sauront ravir chacun. Ah… Haribo… c’est vraiment pour les grands et les petits !
F.CLOTA
L’île de Rapa Nui en Provence !
Chers clients,
La Provence, nous le savons tous, regorge de trésors divers et variés qui en surprennent et en surprendront plus d’un, à commencer par moi !
Et oui ! Enfant de la Provence, et gérant de l’Avignon Hôtel Monclar depuis de nombreuses années, je me suis retrouvé plus qu’ébahi, par un beau dimanche du mois d’octobre, du côté du pays d’Apt…
Roulant sur la traditionelle route nationale, à environs une dizaine de kilomètres à l’est de la capitale mondiale du fruit confit, que vois-je ? Des monolites… des répliques de Moais de Rapa Nui, plus connue sous le nom de l’Île de Pâques ! Oui, l’Ile de Pâques, cette minuscule île située à 3 heures d’avion à l’ouest du Chili, en plein milieu de l’Océan Pacifique !
Je dois dire que, n’écoutant que ma curiosité fort déplacée, je n’ai pu résister à aller interroger le maître des lieux qui repeignait tranquillement son portail. Etant passionné par les voyages, je savais très bien de quoi il s’agissait, mais je voulais que ce gentil monsieur m’explique le pourquoi de la présence de ces répliques, sur son terrain, à peine dissimulées par quelques haies disparates.
Il m’explique alors que sa famille dispose d’une carrière et qu’ils ont confectionné ces Moais, eux-mêmes. Mais pourquoi ? le père de ce monsieur s’etait tout simplement rendu sur l’ïle de Rapa Nui, et en était tombé amoureux. Il souhaitait alors avoir ses propres statues au visage démesuré, ainsi siéger chez lui. Bien au-delà d’une simple décoration, un vrai symbole.
Ah la la ! que voulez-vous; la Provence est vraiment surprenante !
F.CLOTA
La Provence vue d’en haut
Chers clients,
Vous le savez bien, la Provence est très aimée de tous. Les odeurs, les senteurs, les couleurs, les lieux antiques, religieux, magnifiques ne manquent pas.
Alors imaginez un instant, découvrir la Provence comme vous ne l’avez jamais vue, vue d’en haut, en ballon ! Eh oui, il fallait y penser, et Montgolfière Provence l’a fait ! Vous pourrez ainsi profiter d’un moment exceptionnel à bord d’une Montgolfière rotative, apprécier une vue à 360 degrés, imprenable sur les lavandes, les vignes, les pittoresques villages de Gordes, Roussillon et ses ocres, Lacoste, Ménerbes, Bonnieux… Bref le Lubéron comme vous ne l’avez jamais vu !
Des forfaits adaptés, des vols sur mesure, un pack avec prise en charge complète, transferts, coupe de champagne, certificat de vol. En résumé une équipe de pro qui fera de votre séjour en Provence un moment encore plus inoubliable.
L’ Avignon Hotel Monclar recommande sur son blog, cette initiative très originale et qui permet de mettre encore mieux en relief la beauté de notre région.
F.CLOTA